Investir à l’île Maurice : un rêve atteignable

Les règles qui encadrent l’acquisition d’un bien immobilier sur l’île Maurice sont très proches de ce qui se fait en France. Envie de vous offrir une villa sous les tropiques ? Ecoutez Heerun Ghurburrun, conseiller économique à l’ambassade de l’Ile Maurice.

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Un permis de résident avec un bien à plus de 500 000 dollars…

Pour en finir avec le froid, rien de tel qu’une résidence secondaire sous le soleil. Parmi les destinations de rêve les plus plébiscitées, l’île Maurice n’est jamais très loin. Celle que l’on surnomme la perle de l’océan indien est un havre de paix à plus de 9 000 kilomètres de la France. On y parle anglais et français, le climat y est doux toute l’année et le petit territoire jouit d’une stabilité politique, d’un système juridique efficace et d’un dynamisme économique sans pareil. La fiscalité y est d’ailleurs très favorable à l’installation d’investisseurs étrangers comme l’indique Heerun Ghurburrun, conseiller économique à l’ambassade de l’Ile Maurice à Paris dans la vidéo ci-dessus : « Si une personne achète un bien à plus de 500 000 dollars, il obtient un permis de résident ».

… et une fiscalité attractive

Autre avantage, le taux d’imposition sur les revenus fonciers générés depuis Maurice, estimé à 15 % grâce à la convention fiscale franco-mauricienne. Il n’y a ni taxe foncière ni taxe d’habitation et les biens acquis à Maurice sortent automatiquement de l’assiette fiscale du propriétaire. Ils ne sont donc pas soumis à l’IFI (l’impôt sur la fortune immobilière).  Côté prix, les appartements se vendent sur l’île dans des quartiers réservés aux étrangers pour quelques centaines de milliers d’euros, le coût de la vie là-bas étant bien moins cher qu’en France (environ 40 % de moins). Il est aussi possible de miser sur des villas luxueuses de plusieurs centaines de m² pour des prix allant de 700 000 euros à plus de 2,5 millions d’euros.  Les droits de succession ne s’appliquent pas à l’île Maurice tout comme les taxes sur les plus-values qui ne sont que de 5 % si le bien est vendu avant 5 ans. Ensuite, elles retombent à 0 %. Autant d’éléments qui font de l’île un territoire prisé par les Français, depuis la grande ouverture du pays aux étrangers en 2002.

Par Ludovic Clerima