Immobilier : Plus d’1/4 des Français et des Anglais ont l’intention d’acheter un bien à l’étranger

Soleil, évasion, défiscalisation … Selon une enquête Iad, 17% des Français et 20% des Anglais envisagent d’acheter un bien immobilier à l’étranger d’ici à 5 ans.

Jeune femme à Girone en Espagne

© adobestock

L'Espagne : le pays le plus plébiscité par les acheteurs français

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Pour accompagner et faciliter la concrétisation des projets immobiliers internationaux des acquéreurs français et étrangers, de plus en plus nombreux depuis le Covid, iad lance iadOverseas. À cette occasion, le groupe dévoile les résultats de son étude menée avec Ipsos auprès de 4000 personnes âgées de 18 à 75 ans, 2000 en France et 2000 au Royaume-Uni sur le thème des transactions résidentielles à l’étranger.

Plus d’un Français et un Anglais sur 10 ont l’intention d’acheter un bien à l’étranger d’ici 2 ans

« Depuis la crise sanitaire du Covid-19, les envies d’investir ou de vivre à l’étranger ont explosé : besoin d’évasion, envie de soleil, défiscalisation… Les raisons d’acheter un bien immobilier à l’étranger ne manquent pas. Bien que très tentant, ce n’est pas toujours simple et le parcours d’achat peut être semé d’embûches : barrière de la langue, méconnaissance de la législation locale, difficultés pour trouver et visiter des biens… », introduit Aline Leininger, Directrice d’études chez Ipsos en charge de l’enquête iad.

17% des Français et 20% des Anglais envisagent d’acheter un bien immobilier à l’étranger d’ici à 5 ans 

17% des Français et 20% des Anglais envisagent d’acheter un bien immobilier à l’étranger d’ici à 5 ans (respectivement 10% et 14% dans moins de 2 ans). Les Anglais sont encore plus nombreux à prévoir un achat à court terme (6% dans moins d’un an vs 4% des Français).

La volonté d’un changement de vie est présente, via notamment le fait de pouvoir travailler dans n’importe quel pays et pourquoi pas acquérir un bien à l’étranger. Parmi les intentionnistes, un groupe de jeunes actifs déterminés (29%) : d’une moyenne d’âge de 35 ans et plutôt CSP+, ils sont pour beaucoup parents d’au moins 1 enfant, pratiquent le télétravail, parlent plus d’une langue étrangère notamment l’arabe et sont nombreux à déjà posséder une résidence secondaire. Ils marchent aux achats « coup de cœur » et sont les plus avancés dans leur projet d’achat à l’étranger (pour la plupart en phase de recherche et d’analyse) pour lequel ils rencontrent beaucoup de difficultés. Néanmoins, ils citent peu de raisons qui pourraient les faire abandonner.

  • Que ce soit pour se rapprocher de leurs proches ou pour des raisons professionnelles (env. 50/50), ils sont déterminés à acheter dans un pays en particulier (environ 1/3 pour leur résidence principale).
  • Il s’agit pour beaucoup de leur pays d’origine, dans lequel vit leur famille et dont ils partagent la langue. Certains ont également déjà eu le coup de cœur pour un bien, recherchent plutôt une maison en ville et disposent d’un budget et d’un apport conséquents.

Pour Laurent Molin, Directeur Marketing du Groupe iad en charge du projet iadOverseas : «Contrairement aux idées reçues, les retraités ne sont pas ceux qui achètent le plus à l’étranger (8%) mais les jeunes CSP+ (29%) et les familles urbaines (14%), la génération post-covid, en télétravail, proche de ses racines. Cette étude souligne que le besoin d’accompagnement sur les projets à l’étranger est beaucoup plus fort que pour une transaction dans son pays d’origine. C’est d’ailleurs le principal frein pour ces acquéreurs qui voudraient investir à l’étranger : où acheter ? comment trouver le bien ? Comment le financer ? Comment déménager ? Autant de questions auxquelles il n’est pas toujours facile de répondre alors qu’aujourd’hui ce sont 1 français et 1 anglais sur 10 qui souhaitent investir à l’étranger dans les 2 ans. Face à ce constat et fort de notre positionnement digital – la grande majorité des recherches de biens à l’étranger commencent en ligne – iadOverseas vise à développer et à conquérir le marché d’achat de biens à l’étranger pour encadrer et faciliter l’expérience clients ».

Un choix de pays en premier lieu dicté par l’émotion et le soleil

  • 80% des Français et 77% des Anglais souhaitent acheter dans un pays “coup de coeur”, à 79% ensemble pour le climat, pour 77% des Français car les habitants sont accueillants et pour 73% des anglais car on s’y sent en sécurité.
  • Le top 3 des pays plébiscités par les acheteurs Anglais sont l’Espagne 24%, les USA 12%, la France 9%, suivis de l’Italie, la Grèce, le Portugal, Dubaï et le Maroc
  • Le top 3 des pays plébiscités par les acheteurs français sont l’Espagne 21%, le Portugal 13%, le Maroc 10% suivis des USA, de l’Italie, la Grèce, Dubaï et la Thaïlande

 « Aujourd’hui, il n’existe pas de vrai leader sur le marché des transactions overseas pour accompagner les acheteurs de bout en bout. Avec notre réseau iad sans frontières déjà implanté dans l’ensemble des pays plébiscités par les acquéreurs étrangers souhaitant investir (France, Espagne, Italie, Portugal) Overseas ambitionne de répondre à leur projet de vie avec des conseillers iad habilités Overseas qui ont une vraie connaissance du marché local, les bons partenaires et évidemment parlent la langue de l’acquéreur ».

Le conseiller immobilier attendu sur 3 critères

Beaucoup de critères sont importants dans le choix d’un bien à l’étranger mais les 4 plus déterminants sont : 83% l’agencement du bien, 82% le prix, 82% le quartier et l’emplacement géographique, 76% la vue.

Si le conseiller immobilier est principalement attendu pour son expertise dans la recherche de bien (identifier les biens, leurs faiblesses…), il l’est aussi pour sa connaissance géographique et des spécificités administratives et juridiques locales. Voici les critères d’expertise jugés importants pour les acquéreurs :

  • 39% des Français et 34% des Anglais : identifier les biens intéressants
  • 34% et 38% : pour ses connaissances géographiques
  • 38% et 34% : pour apporter des conseils sur la législation locale
  • 64% des Anglais sont favorables à faire appel à un conseiller immobilier en France et prêts à payer des honoraires supplémentaires.

Les intentionnistes et les anciens acheteurs ont le plus d’attentes et un fort intérêt pour les services administratifs et juridiques (notaire, assistance juridique, assurance, avocat). En effet, les difficultés majeures qu’ils rencontrent sont dues à la méconnaissance du marché immobilier local, des lois/normes du pays ou encore des termes ou jargons employés dans le pays.

Internet et les moteurs de recherche : point de départ des recherches pour l’étranger

Internet est largement utilisé pour la recherche de biens notamment via les moteurs de recherche et les 18-24 ans sont ceux qui utilisent le plus les réseaux sociaux et consultent les sites d’annonces immobilières. Cependant pour trouver un bien, et peu importe leur âge, les intentionnistes comme les anciens acheteurs privilégient le contact humain : en France, le premier moyen d’information pour rechercher un bien reste l’agence immobilière locale (28%) et les conseils de l’entourage (25%).

Ainsi une grande majorité des anciens acheteurs ont fait appel à un agent immobilier durant leur parcours d’achat : 69% des anciens acheteurs français et 74% des anciens acheteurs anglais.

Avec une satisfaction client de 96% sur plus de 130 000 avis sur Immodvisor, la notoriété d’iad est reconnue par près d’1 intentionniste français sur 5 face à des concurrents déjà très implantés sur le marché immobilier.

Par MySweet Newsroom