Immobilier : Se loger, une galère pour 88% des jeunes
88% de la population de moins de 35 ans estime que se loger relève du parcours du combattant et, de fait, ils tardent à gagner leur indépendance. C’est ce que révèle une étude sur les difficultés d’accès au logement des jeunes.
Entre pénurie de logements, loyers exorbitants, propriétaires intransigeants et concurrence féroce entre les candidats pour un même bien, les aspirations des étudiants et jeunes actifs à l’indépendance se heurtent à des obstacles difficiles à surmonter : 88% de la population de moins de 35 ans estime que se loger relève aujourd’hui du parcours du combattant.
Des difficultés à trouver un toit aux lourdes conséquences, comme en témoigne l’étude réalisée par l’institut OpinionWay pour la plateforme Wellow, actrice de l’habitat collectif, social et urbain.
Des jeunes adultes qui tardent de plus en plus à acquérir leur indépendance
Pour beaucoup, quitter le domicile familial est une obligation pour poursuivre des études ou accéder à l’emploi. Alors que la crise du logement s’intensifie depuis de nombreuses années, nombreux sont ceux qui ont été contraints de réviser leurs projets d’avenir, condamnant bon nombre de jeunes à la précarité ou à la dépendance familiale : 31% des moins de 35 ans ont dû retarder leur passage à une vie autonome et 20% déclarent être retournés vivre chez leurs parents en raison de l’augmentation du coût du logement.
Plus globalement, le logement, frein à l’emploi, ferme les portes de l’avenir d’une part significative de la jeunesse. Faute de pouvoir se loger à un prix juste : 26% ont été obligés de retarder leurs projets de reconversion professionnelle ; 22% ont renoncé à s’orienter vers des métiers en tension en raison du décalage entre les salaires proposés et le coût du logement ; 14% ont été obligés de refuser un emploi ; 12% été obligés de refuser une formation ; 12% ont dû renoncer à poursuivre leurs études.
Des conditions drastiques imposées par les propriétaires
Parmi les difficultés exprimées, un jeune sur deux déplore les conditions trop sélectives imposées par les propriétaires (nature du contrat, garant, caution, salaire minimum, etc.). De fait, près de deux jeunes sur dix ont déjà été confrontés à l’impossibilité de répondre à l’exigence d’une caution parentale (16%).
Plongés dans une lutte sans merci pour se démarquer des autres candidats, 41% des jeunes enchaînent les visites tout en sachant que leur dossier a peu de chances d’être accepté. Une situation d’autant plus complexe que les étudiants recherchent davantage de souplesse quant à la durée de leur location : 22% des répondants rencontrent des difficultés à trouver une solution de logement flexible adaptée à leurs besoins.
120 adresses dans Paris où déposer ses valises
Si, pour 80% des jeunes, vivre dans un logement de très petite taille favorise le mal-être et l’isolement, trouver un logement abordable, spacieux et confortable, idéalement situé au cœur de ville à proximité de toutes commodités n’est plus aujourd’hui une mission impossible.
Pour répondre aussi bien à leurs besoins qu’à leurs contraintes, Wellow loue en direct des biens auprès de bailleurs particuliers ou institutionnels, pour leur proposer des colocations clé-en-main, prêtes à habiter. Avec plus de 120 adresses dans Paris, ils n’ont plus qu’à déposer leurs valises dans des lieux de vie qualitatifs, spécialement aménagés et décorés avec tous les équipements nécessaires (mobilier, wifi), et situés à des emplacements privilégiés, au pied des métros. Grâce à une formule tout compris comprenant un forfait pour l’eau, l’électricité, le gaz ou encore l’assurance habitation, ils n’ont plus à se soucier des taxes et charges liés au logement, ni à son entretien courant (opérations de maintenance, réparations, travaux d’entretien).
« Je viens du Nord-Pas-de-Calais, et lorsqu’il a été question de déménager à Paris pour terminer mes études, la recherche de logement s’est avérée plus difficile que prévue. Entre les arnaques, l’impossibilité de me rendre sur place pour visiter les logements et la concurrence pour trouver un appartement en centre-ville, j’ai vite déchanté. Je voulais m’installer en colocation pour pouvoir rencontrer des personnes et découvrir Paris : c’est là que j’ai découvert Wellow, en cherchant sur un site dédié à la colocation. Je les ai contactés et j’ai eu un retour dans la journée, avec organisation d’une visite virtuelle de l’appartement. Le soir même, j’avais un accord de principe pour louer une chambre dans la colocation ! », précise Benoît, colocataire Wellow dans le 19e arrondissement de Paris.
Une communauté pour rompre l’isolement
Une fois installés, les colocataires Wellow forment une véritable communauté et se voient proposer une expérience d’habitat partagé riche et éminemment humaine, favorisant leur intégration dans la cité. Une programmation événementielle, culturelle, sportive et caritative organisée chaque semaine mais aussi des bons plans négociés avec des partenaires locaux ; une carte interactive pour découvrir les meilleurs spots de la ville et une plateforme de chat pour qu’ils puissent interagir et se découvrir entre les différents les différents espaces.
« Venant de province, j’ai dû déménager à Paris pour mon stage de fin d’études. Cela s’est avéré plus difficile que prévu : les loyers en centre-ville étaient beaucoup plus élevés que je l’imaginais et j’ai fait face à beaucoup d’arnaques sur les sites d’annonces de location. Je suis tombée par hasard sur une annonce de Wellow, un ami a réalisé la visite pour moi sur place et j’ai pu la suivre en visioconférence. J’ai tout de suite été conquise : l’appartement refait à neuf était très bien localisé. Le système m’a beaucoup rassurée par sa simplicité et le fait de ne pas avoir à apporter des garanties démesurées. Surtout, j’apprécie le fait de pouvoir participer aux évènements organisés régulièrement, qui m’ont permis de rencontrer de nouvelles personnes facilement quand je suis arrivée dans la capitale », ajoute Léa colocataire Wellow dans le 12e arrondissement de Paris.