Immobilier Marseille : Écarts, une série de sculptures réalisées par Gabrielle Conilh de Beyssac  

En mars 2024, Sportimmo, nouvel adhérent au Club 1 immeuble, 1 œuvre, a inauguré sa première réalisation artistique dans le cadre du programme : Écarts, de Gabrielle Conilh de Beyssac. Des sculptures destinées à pour embellir la résidence « EPIC » à Marseille.

1 immeuble, 1 œuvre

© impatient films et Pierre Quintrand

Écarts, Gabrielle Conilh de Beyssac

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Nichée dans un écrin de verdure au cœur du 8e arrondissement de Marseille, la résidence « EPIC », de l’aménageur Sportimmo, accueille désormais dans son parc paysager des sculptures de Gabrielle Conilh de Beyssac intitulées Écarts

Inaugurée en février 2024, ce lieu est imaginé par l’architecte Roland Carta. Ce dernier explique que « le traitement architectural répond à la volonté de laisser filer les regards et de capter un maximum de lumière.»

5 modules en acier peint découpé – comme les 5 anneaux des Jeux Olympiques 2024 dont les épreuves de voile se dérouleront à quelques encablures de la résidence – sont de forme courbe, comme les vagues.

Cette simplicité sert à « mieux souligner le passage entre le monde de l’idée et le monde de la matière ou forces, renouvelant ainsi l’expérience et la découverte », précise l’artiste.

1 immeuble, 1 œuvre : un dialogue concerté entre art et architecture 

Le programme 1 immeuble, 1 œuvre, qui place la création artistique dans l’espace public compte à ce jour 800 œuvres d’art commandées et installées sur l’ensemble du territoire français depuis 2015, au sein des immeubles résidentiels, dans des villes de toutes les échelles, comme à Pantin, Villeurbanne, Lille, Marseille, Mulhouse mais aussi à Annemasse ou encore Amiens.

La charte 1 immeuble, 1 œuvre s’inscrit dans la politique de l’État de soutien à la création artistique et de diffusion des arts visuels auprès du public le plus large. Elle témoigne de l’engagement commun de la société civile et de la puissance publique en faveur de la création artistique au bénéfice de tous. La charte du ministère de la Culture engage chaque entreprise signataire à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels, et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre.

Par MySweetImmo