Immobilier : 9 vendeurs sur 10 font confiance aux professionnels ! 

Les Français continuent de faire confiance aux agents immobiliers ! 9 vendeurs sur 10 souhaitent se faire accompagner par un intermédiaire pour mener à bien leur projet. Et, contrairement aux idées reçues, leur intérêt pour le professionnel ne se limite pas à l’estimation du bien.

Un couple souriant discute avec une agente immobiliere qui leur montre des documents, dans un interieur lumineux avec de grandes fenetres.

© adobestock

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Si, en 2023, le marché immobilier s’est fortement contracté et a vu le nombre transactions chuter de plus de 20%, le début de l’année 2024 a été plus propice à une reprise de l’activité notamment avec une baisse sensible des taux de crédit immobilier et un assouplissement des conditions d’octroi. 

Quels sont les impacts de ces évolutions sur les vendeurs ? Quelles sont leurs motivations ? Quelles sont leurs éventuelles inquiétudes ? Comment envisagent-ils de gérer leur projet de vente ? 9 sur 10 ont l’intention de faire confiance à un professionnel de l’immobilier. Décryptage avec une étude Guy Hoquet & Yougov.

Près d’1 français interrogé sur 3 à l’intention de vendre d’ici la fin de l’année 2024 

Malgré un marché immobilier au ralenti depuis de nombreux mois, les propriétaires ont envie de vendre : parmi les Français de plus de 30 ans avec un projet immobilier, 20% ont vendu un appartement/une maison au cours de l’année 2023 et 29% ont l’intention de le faire en 2024.

63% de ceux qui souhaitent concrétiser un projet de vente dans l’année veulent vendre une maison.

L’immobilier au rythme des changements de vie

Cette envie de renouveau est rythmée par les changements de vie : les Français qui souhaitent vendre veulent prioritairement changer de région/ville (35%), acheter “mieux” c’est à dire plus grand, plus lumineux, avec un extérieur … (24%) mais également, pour certains, acheter plus petit / moins cher (19%). De plus, parmi les futurs vendeurs, 14% souhaitent vendre pour acheter à deux, et 7% pour se mettre en location.

Enfin, les changements de situation personnelle comme une naissance ou un divorce motivent plus de projets de vente (18%) que les changements de situation professionnelle (13%).

1 vendeur sur 2 est serein à propos de son projet immobilier

Les Français ayant un projet de vente l’envisagent plutôt sereinement puisque 45% d’entre eux n’envisagent aucune difficulté particulière pour sa réalisation.

Pour les autres, la principale crainte formulée est la baisse du prix de vente causé par les contraintes budgétaires pesant toujours sur les acquéreurs (22%).

À la deuxième place arrive l’inquiétude de voir les acquéreurs en difficulté pour obtenir un financement de leur projet immobilier auprès des banques (14%). Enfin, le 3ème risque qu’ils identifient est de ne pas trouver le “bon acheteur” (10%).

Des professionnels de l’immobilier plébiscités pour leur valeur ajoutée dans l’entremise entre vendeur et acquéreur

Alors s’estiment-ils majoritairement sereins parce qu’ils souhaitent confier leur vente à un professionnel de l’immobilier ? En effet, l’étude met clairement en évidence que les futurs vendeurs accordent très largement leur confiance aux professionnels de l’immobilier.

89% des Français qui ont l’intention de vendre cette année souhaitent se faire accompagner par un intermédiaire pour mener à bien leur projet de vente. Les femmes sont légèrement plus enclines à solliciter cet accompagnement : 90% chez les femmes, versus 87% chez hommes. De la même façon, les vendeurs qui ont entre 45 et 54 ans sont ceux qui l’envisagent aussi le plus (95%), juste avant les 35-44 ans (92%).

Et contrairement aux idées reçues, l’étude démontre aussi que le recours à un professionnel n’est pas seulement envisagé pour la phase d’estimation du bien (dans le but de vendre seul ensuite) : en effet, cette motivation n’arrive qu’en 3ème position dans les motifs envisagés par les vendeurs potentiels (11% des raisons sélectionnées). En réalité, ceux qui sont en quête d’un professionnel de l’immobilier attendent principalement d’être aidés pour la négociation (61%) et les visites de leur bien (16%).

Parmi les autres tendances relevées par l’étude sur ce point, on note que les femmes sont plus sensibles au conseil apporté sur la phase de négociation du bien, alors que les hommes sont plus intéressés par la possibilité de déléguer les visites immobilières.

Ce qu’attendent les vendeurs des agents immobiliers ?

Les résultats de l’étude Guy Hoquet x Yougov sur l’intention d’avoir recours aux services d’un professionnel mettent en exergue les attentes des vendeurs en matière d’accompagnement.

Le rôle du professionnel en tant que médiateur entre le vendeur et l’acquéreur ressort particulièrement sur cette vague de l’étude, notamment sur la question du prix de vente final. Cette tendance est à mettre en parallèle avec le contexte économique et social dans lequel la population évolue ces dernières années : inflation, hausse du coût des matières premières, hausse des prix de l’énergie, hausse des taux de crédit immobilier… La maîtrise du budget de la vente et de l’achat est devenue centrale dans les projets immobiliers envisagés par les Français.

Si la visite et l’estimation de la valeur du bien sont les motifs les plus courants après la négociation, cela vient aussi confirmer l’importance d’un intermédiaire expert. Les vendeurs ne s’y trompent pas : ils entendent faire appel à sa capacité à mettre le bien en valeur auprès des acquéreurs potentiels, à faire preuve de pédagogie et de transparence dans les réponses à apporter sur le bâti, et bien entendu à avoir la parfaite maîtrise de la valeur d’un bien donné sur son marché, en local. Autant de compétences nécessaires qui font écho à l’importance de la formation pour les professionnels de l’immobilier, au-delà du cadre légal imposé par la loi ALUR.

L’étude Guy Hoquet x Yougov vient valider la nécessité de former toujours plus et toujours mieux les conseillers en immobilier. C’est pour élever la qualité de service et parce que je crois qu’une société s’élève par la formation de ses hommes et de ses femmes, que j’ai opéré un changement radical dans le modèle de franchise de Guy Hoquet il y a 3 ans : la formation continue illimitée, en présentiel comme en distanciel pour les franchisés et les 3200 collaborateurs de la marque. La véritable valeur d’une entreprise se crée entre un collaborateur et son client final”, conclut Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier.

Par MySweetImmo