Immobilier Marcq-en-Barœul : « Un cadre idéal pour familles en quête d’opportunités », Frédéric Haffner (Era)
Alors qu’à Lille, l’offre n’est pas suffisante pour répondre à la demande, Marcq-en-Barœul attire les particuliers en quête de verdure, d’espace et d’une maison. Frédéric Haffner, directeur de l’agence ERA, décrypte le marché immobilier.
Commune cossue située au nord de Lille, Marcq-en-Barœul attire une population croissante en quête d’espace et de verdure. Grâce à ses infrastructures modernes, son environnement verdoyant et une accessibilité rapide à Lille, elle séduit de plus en plus d’habitants et d’investisseurs. Un regain d’intérêt stimulé par des conditions de crédit plus favorables et une forte demande locative.
Un marché immobilier dynamique autour de 4 500 € le m²
Alors que Lille souffre d’un marché immobilier dont l’offre n’est pas suffisante pour répondre à la demande, Marcq-en-Barœul s’impose comme une alternative de choix. À seulement 15 minutes en transports en commun de la capitale des Flandres, Marcq-en-Barœul propose une offre immobilière diversifiée, avec un grand nombre de maisons dotées de jardins, une rareté dans l’agglomération lilloise où les appartements dominent le marché.
Bien que le prix moyen au mètre carré à Marcq-en-Barœul avoisine celui de Lille, environ 4 500 €, la possibilité d’acquérir des maisons avec extérieurs renforce l’attrait de cette commune pour les familles et les jeunes couples.
« Nous observons une nette reprise des transactions depuis cet été », constate Frédéric Haffner, directeur de l’agence ERA de la Passerelle à Marcq-en-Barœul. Les biens mis en vente au premier semestre trouvent preneur rapidement, ce qui témoigne de la confiance retrouvée des acquéreurs, encouragée par l’assouplissement des conditions de financement.
« Bien que les taux d’intérêt historiquement bas de 1 % appartiennent au passé, grâce à nos partenariats avec des courtiers locaux, nous parvenons à obtenir des taux préférentiels pour nos clients, avoisinant les 3,3 % pour un prêt sur 20 ans », ajoute Frédéric Haffner.
Marcq-en-Barœul connaît également un rajeunissement de sa population. De nombreux propriétaires âgés ont décidé de céder leurs grandes maisons pour s’installer dans des logements ou établissements plus adaptés à leurs besoins, facilitant l’installation de jeunes familles. Pour répondre aux besoins de ces nouveaux ménages, la commune renforce son offre scolaire, déjà reconnue pour ses institutions et établissements bilingues, mais également sportive.
Marché locatif sous tension, les investisseurs à l’affût
Sur le marché locatif, la situation est tendue. « Les biens disponibles à la location sont rares, il y a 10 fois moins d’appartements à louer à Marcq-en-Barœul par rapport à Lille, et les loyers poursuivent leur progression. Un studio se loue actuellement en moyenne 650 € par mois, et il n’est pas rare de voir 15 à 20 candidatures pour un même logement en moins de 48h », explique Frédéric Haffner. Cette tension incite de plus en plus de parents à acheter un bien pour loger leur enfant étudiant, une tendance qui s’est particulièrement accélérée à la rentrée. Cette situation représente une opportunité pour les personnes qui souhaitent investir dans l’immobilier avec une garantie de loyer.
Alors que la problématique des enjeux environnementaux est au cœur des débats, la performance énergétique des logements est désormais un critère décisif dans les décisions d’achat. « L’étiquette énergétique est aujourd’hui aussi importante que le prix ou le nombre de chambres » souligne Frédéric Haffner.
Les biens énergivores qui nécessitent des travaux de rénovation, pour lesquelles les améliorations énergétiques peuvent être amorties grâce aux aides, permettent à des ménages d’accéder à la propriété grâce à une décote de prix.
« Au quotidien nous accompagnons nos clients dans les démarches en lien avec la rénovation énergétique. Nous les mettons également en relation avec des entreprises qui pourront réaliser les travaux nécessaires pour améliorer le confort du logement et réaliser des économies d’énergie», ajoute Frédéric Haffner.