Immobilier : « La force d’homeloop c’est d’aider les gens et ça fait du bien », Vanessa Benedic (homeloop)
Vanessa Benedic, CEO d’homeloop, est l’invitée d’Ariane Artinian dans Mon Podcast Immo. Elle fait le point sur les perspectives de développement d’homeloop.
Ariane Artinian reçoit Vanessa Benedic pour ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo.
La CEO évoque le repositionnement de l’entreprise rachetée il y a 18 mois. « On a beaucoup travaillé avec l’équipe , explique t-elle. On a repositionné notre business model. On continue à faire de l’achat revente – on est Game changer sur ce marché, on y croit dur comme fer. Mais on fait également de l’activité immobilière traditionnelle« .
La nouvelle stratégie semble emporter l’adhésion des partenaires financiers : « C’est auprès de nos partenaires bancaires que nous venons de lever 4 millions d’euros« , ajoute t-elle.
Écrire une nouvelle page de l’histoire d’homeloop
Sa feuille de route ? Développer l’entreprise, investir dans le marketing digital, s’ouvrir à de nouveaux territoires et recruter de nouveaux collaborateurs.
« On a ouvert différentes villes ces dernières semaines : Nice, Megève, Toulouse, Marseille, La Rochelle, Aix-en-Provence, Bandol… et ce n’est que le début« , s’enthousiasme t-elle.
homeloop, une solution innovante pour le bien de tous
« Notre offre est unique, reprend la dirigeante. Nous somme les seuls à proposer aux propriétaires de racheter leurs biens instantanément s’ils le souhaitent. On aide les gens, et ça fait du bien« .
A l’heure où nombre d’entre eux se retrouvent en difficulté en fin de crédit relais, l’achat en 48h sans délai de rétractation ni condition suspensive a de quoi séduire aux vendeurs en difficulté les plus pressés.
Et faciliter le recrutement de commerciaux chez homeloop. « On est les seuls sur le marché à leur proposer aux commerciaux de pouvoir acheter les biens de leurs clients. Ils ne sont pas seulement agent immobilier, ils sont aussi acquéreurs potentiels« .
Interrogée sur l’avenir de l’immobilier, Vanessa reconnaît les défis à venir, tout en restant optimiste. « 2024 va certainement être compliqué… Mais il faut être bon, il faut travailler, il faut s’adapter », conclut-elle.