Immobilier Barbizon : Ma livre 7 maisons en bois qui célèbrent la nature et le vivre-ensemble

Développé et conçu par Ma et ciguë, ancré au cœur d’un vaste domaine boisé de 2,5 hectares, La Lisière est un ensemble de 7 maisons en bois qui célèbrent la nature et le vivre ensemble. Initié en 2021 le projet sera livré à l’automne 2025,

La Lisiere, domaine de 7 maison en bois a Barbizon

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© Ma

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Située à quelques minutes à pied du centre du vieux village de Barbizon (Seine-et-Marne), historiquement connu pour l’École de peinture pré-impressionniste qui y prospéra au XIXe siècle, La Lisière se veut un projet résidentiel novateur de sept maisons en bois.

Développé par l’opérateur immobilier Ma et conçu par le studio d’architecture ciguë, le projet, livré à l’automne 2025, propose une relecture de l’habitat périurbain, à rebours des lotissements pavillonnaires standardisés.

Ici, habitat individuel rime avec dynamique communautaire à échelle humaine dans un cadre naturel préservé.

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Vivre au plus près de la nature

La Lisière s’implante dans le Domaine de Bramefaon, un domaine forestier de 2,5 hectares, en lisière de la forêt de Fontainebleau.

Depuis la propriété, un simple portail au fond d’une allée cavalière permet d’accéder à pied à la forêt domaniale (25 000 ha, dont une partie classée en réserve biologique).

La priorité du projet a été est donnée à la qualité de vie grâce à un équilibre subtil entre empreinte écologique minimale, préservation de l’intimité et ouverture au voisinage. Chaque foyer bénéficie d’un jardin privatif, tout en partageant des communs, propices à la convivialité. Il s’agit de concilier l’intimité du chez-soi avec les avantages d’une vie collective choisie, connectée à la nature.

Vivre à La Lisière, c’est en effet habiter au plus près de cette nature préservée : les résidents sont aux premières loges pour observer la richesse végétale et faunistique de ce massif classé, entre chênes centenaires, pins, fougères et chevreuils.

Des maisons contemporaines inspirées qui célèbrent le bois

Les sept maisons ont ainsi été installées autour d’une demeure des années 1920, la Villa Bramefaon, dans des clairières naturelles, là où il n’y avait pas d’arbre. Chacune est conçue comme une entité indépendante, préservant l’intimité et le confort de ses occupants tout en se construisant comme un petit collectif uni par la forêt présente sur la parcelle.

La notion de jardin privatif s’efface au profit d’un sol partagé où l’intimité se tisse autrement, non par des clôtures, mais par des îlots plantés d’essences forestières, délimités par des ganivelles basses qui les protègent de la tonte. Rendus ainsi volontairement impraticables, ils sont autant de refuges pour la biodiversité, tout en filtrant naturellement les vues entre voisins.

Cet agencement sensible invite à repenser le rapport au jardin non plus comme un espace à maîtriser mais comme un fragment de forêt à cultiver, entretenir, habiter avec soin. Une nouvelle manière d’habiter s’esquisse, entre liberté individuelle et présence collective, où chacun peut contribuer, s’il le souhaite, à une forme de communauté.

Inspirée par l’omniprésence de la forêt, les maisons développent un langage qui puise à la fois dans le modernisme par le plan ouvert, la structure poteau poutres, les façades libres, les grandes ouvertures sur la nature, les doubles hauteurs, les sols en béton et murs blancs, tout en célébrant la matière bois, présente autant à l’extérieur qu’à l’intérieur pour structurer les espaces, réchauffer la palette et créer des volumes accueillants et chaleureux, en écho aux archétypes de la maison de campagne.

Les sept maisons créées développent de 130 m2 à 190 m2 en R+ 1 ou R+ 1 + combles aménagés sur une surface au sol moyenne de 120 m2. Elles se répartissent sur 2,5 hectares d’emprise foncière, ce qui permet aux résidents de jouir d’un espace extérieur privatif de 1 200 m2 environ. 15 % de la parcelle sont consacrés aux communs, entre cheminements, piscine naturelle et potagers partagés.

La Villa Bramefaon

Construite dans les années 1920, la villa existante est un exemple typique des demeures bourgeoises de villégiature construites à proximité de la forêt. D’une surface de 550 m² répartie sur trois niveaux et complétée par 150 m² de sous-sol, elle bénéficie d’un jardin privatif de 5 600 m².

En complément de la construction des sept maisons, sa réhabilitation propose la création de quatre appartements familiaux, chacun héritant des qualités existantes du bâti avec de grandes hauteurs sous plafond, des pièces lumineuses avec vues directes sur la forêt, certaines en triple orientation et bénéficiant de larges
terrasses privatives de plain-pied ou en étage.

Des lieux à partager

La Lisière intègre deux équipements mutualisés : un bassin de baignade naturel, niché dans une des clairières et un potager partagé qui permet aux habitants de cultiver fruits et légumes, tout en favorisant les échanges de savoir-faire. Plus que de simples agréments, ces communs participent à l’émergence d’un écosystème de voisinage.

Par MySweetImmo