Virgil avis : Mathieu et Clara ont acheté leur résidence principale grâce au co-investissement – Témoignage
Mathieu et Clara rêvaient d’acheter leur appartement à Paris, mais leur apport ne suffisait pas pour convaincre la banque. Virgil les a aidés à concrétiser leur projet.

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À 34 et 31 ans, Mathieu et Clara n’avaient qu’une envie, devenir enfin propriétaires à Paris. Leur coup de cœur était un T3 bien agencé du 10ᵉ arrondissement, lumineux, avec un petit balcon et une cuisine ouverte sur le séjour. Mais comme beaucoup de jeunes acheteurs, ils ont vite déchanté. L’apport exigé par la banque dépassait largement leurs économies. Découragés à l’idée d’attendre encore plusieurs années, ils ont découvert Virgil, qui les a aidés à valider leur dossier bancaire.
Le projet bloqué : quand l’apport devient un frein
Mathieu et Clara gagnaient plutôt bien leur vie, sans dettes ni dépenses excessives. Mais avec seulement 15 000 € d’apport pour un appartement à 480 000 €, la banque n’a pas suivi.
« On nous a dit qu’il fallait au moins 15 % du prix. 72 000 €. On en était loin », se remémore Clara, qui nous reçoit dans son salon aujourd’hui baigné de soleil. « On pensait devoir attendre encore trois ou quatre ans… Mais à Paris, les prix ne nous auraient pas attendus. »
Emprunter à leurs parents ? Le couple y a pensé, mais a vite écarté l’idée. « D’une part on voulait rester indépendants, et ne pas mélanger famille et argent. Et d’autre part, nos parents ne disposaient pas d’une grosse marge pour nous aider », détaille Mathieu. Le projet est tombé à l’eau. Du moins jusqu’à ce qu’ils lisent un article expliquant le principe du co-investissement immobilier.
La découverte de Virgil
Le déclic est venu un soir. Clara cherchait des solutions pour compléter leur apport quand elle est tombée sur le site wearevirgil. « On ne connaissait pas du tout ce type de service », se souvient-elle. Créé en 2019, Virgil immobilier a construit son modèle autour d’un constat simple : beaucoup de primo-accédants ont un bon profil, des revenus stables, mais pas assez d’apport pour convaincre les banques.
Un modèle d’investissement plutôt qu’un prêt
Plutôt que de leur prêter de l’argent avec des intérêts à rembourser, Virgil a choisi d’investir directement à leurs côtés dans le bien immobilier. En échange, Virgil devient copropriétaire dormant et récupère son argent au moment de la revente ou du rachat de sa quote-part.
L’opération n’est pas gratuite. Virgil se rémunère avec une indemnité d’occupation proportionnelle à la durée de détention du bien. Les règles sont clairement précisées dans le contrat, qui prévoit également un forfait fixe de 3 000 €, facturé au moment de la remise des clés.
Une solution qui les a vite convaincus
Intrigués par le concept, Mathieu et Clara ont voulu en savoir plus. Ils ont réalisé une simulation, consulté des avis et approfondi leurs recherches. Ils ont rapidement été convaincus que c’était la solution qu’il leur fallait pour acheter.
« En fait, c’était facile », explique Mathieu. « Virgil nous aide au départ et on reste libres pour la suite. On s’est dit qu’on rachèterait leur part un peu plus tard, quand on aurait la somme nécessaire. » Clara ajoute : « On a fait la simulation en ligne. En dix minutes, on savait combien Virgil pouvait nous apporter. C’était même un peu plus que ce qu’il nous manquait, ce qui nous a permis de garder une petite réserve. »
Et Mathieu et Clara sont sortis du piège locatif.
Le co-investissement en pratique
Suite à leur simulation, Mathieu et Clara ont rapidement été mis en relation avec un expert Virgil qui les a accompagnés pendant tout leur parcours. « Il nous a tout expliqué au téléphone, avec des mots clairs. On a pu poser toutes nos questions et il nous a vite rassurés », sourit Mathieu.
La suite s’est déroulée par étapes :
- Validation du profil : l’équipe Virgil a vérifié leurs revenus, leur capacité d’emprunt et la solidité du projet.
- Proposition d’investissement : quelques jours plus tard, l’équipe leur a confirmé que Virgil pouvait apporter 70 000 €.
- Signature du contrat : « On a reçu les documents et on les a relus tranquillement. Tout était clair. On restait pleinement propriétaires et Virgil apportait une partie du financement qu’il récupérera plus tard, au moment du rachat ou de la revente », se souvient Mathieu.
- Présentation à la banque : avec cet apport, leur dossier de prêt a été accepté sans discussion.
« Ça nous a vraiment tranquillisés »
Le couple ne regrette pas une seconde sa décision.
« Franchement, on n’y croyait plus », confie Clara, leur fille de deux ans sur les genoux. « Tout s’est débloqué en quelques semaines. On vit aujourd’hui dans notre appartement. C’est chez nous. Pour de vrai ! » Le rôle de Virgil a bien sûr été décisif. « Sans eux, on aurait attendu des années. Ou pire, on aurait acheté un bien moins bien situé, moins bien pour nous. Virgil nous a permis de ne pas brader notre projet. »
Au-delà du levier financier, c’est aussi la sérénité qu’ils retiennent. « Ça nous a vraiment tranquillisés. On a vécu l’achat beaucoup plus sereinement que ce qu’on imaginait. Et surtout, on n’a pas eu à demander d’aide à nos proches, ni à nous mettre plus de pression au travail. On a gardé notre indépendance, et ça compte énormément », souligne Mathieu.
Leur avis sur Virgil
Pour Mathieu et Clara, Virgil a donc été le partenaire décisif pour devenir propriétaires. Ce qu’ils ont le plus apprécié ? « La gentillesse et la réactivité de l’équipe », répond Clara sans hésiter. « On avait une réponse en 24 heures à chaque question. Et surtout, la simplicité. On nous expliquait tout. On n’a pas eu de mauvaise surprise. On a été très bien accompagnés et tout s’est vraiment bien déroulé. »
« Ce n’est pas un cadeau, c’est un investissement commun »
Professionnels des assurances, Mathieu et Clara ont naturellement pris le temps d’étudier en détail le contrat du financement résidence principale. Rien n’a été laissé au hasard. Ils ont découvert un modèle transparent : « Ce n’est pas un cadeau, c’est un investissement commun. Mais une fois qu’on a compris le principe, tout roule, » lance Mathieu.
Pour eux, le co-investissement a tenu toutes ses promesses. Leur conseil à ceux qui hésitent ? « Faites la simulation. Même si vous n’êtes pas sûrs. Discutez-en avec Virgil. Au moins, vous verrez clairement votre situation. Et si ça fonctionne, vous pourrez viser un logement que vous pensiez hors de portée ! »
Leur parcours vous parle ? Vous pouvez tester la simulation directement sur le site de Virgil. C’est gratuit et sans engagement, mais ça peut être décisif pour votre projet immobilier.