Immobilier de luxe Paris : Une forte progression de l’activité pour Engel & Völkers au 1er semestre

Engel & Völkers France dresse son bilan au 1er semestre sur le marché parisien du luxe. Le réseau enregistre notamment une hausse de 15 % des transactions sur les biens entre 1 et 3 millions d’euros et de 22 % sur les biens au-delà de 3 millions d’euros.

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© Engel & Völkers France

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À l’occasion de l’inauguration de son nouveau siège social dans le 8è arrondissement de Paris, au 170 rue du Faubourg Saint-Honoré, Engel & Völkers France, réseau de 350 agents répartis entre Paris, la
Côte d’Azur, Deauville, et désormais Lyon, revient sur ses performances du premier semestre 2025 et dresse le constat suivant : face aux situations géopolitiques difficiles et à la volatilité des actifs financiers, l’immobilier résidentiel haut de gamme confirme son rôle de valeur refuge.

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L’immobilier de luxe : une valeur sûre

En quête de sécurité, les investisseurs privilégient désormais des actifs tangibles et durables. L’immobilier de prestige répond pleinement à ces attentes, en alliant stabilité, usage concret et potentiel de valorisation sur le long terme.

Au premier semestre 2025, cette dynamique s’est traduite par une forte progression de l’activité, notamment des visites à Paris +18% et des demandes d’estimations +41 % par rapport à 2024.

« Tous nos indicateurs sont au vert, l’immobilier résidentiel haut de gamme confirme sa résilience et son attractivité, comme en témoigne notre croissance avec +43,3 % du chiffre d’affaires en promesses de vente à Paris au premier semestre 2025 », précise Alexis Caquet, Président Engel & Völkers France.

Selon le dirigeant, cette belle dynamique s’appuie sur plusieurs leviers : l’attractivité de la France, portée par un art de vivre reconnu, un patrimoine d’exception, la diversité de ses paysages et la qualité de ses infrastructures. La France continue d’exercer un fort pouvoir d’attraction sur les investisseurs.

Dans un contexte incertain, l’immobilier de prestige offre également un équilibre précieux entre sécurité, valorisation patrimoniale et confort de vie. Il répond aux attentes de ceux qui souhaitent conjuguer pérennité et usage.

« Les Français sont en quête d’un réflexe patrimonial durable, qui fait de l’immobilier de prestige un placement à la fois protecteur et performant », poursuit Alexis Caquet.

Ces biens offrent en effet une transmission patrimoniale pérenne, et une adaptation naturelle aux nouveaux usages : télétravail, résidences secondaires devenues principales, ou semi principale, en quête d’une meilleure qualité de vie.

L’immobilier de luxe ne se définit pas seulement par un prix élevé mais par l’alliance de critères rares : localisation d’exception, qualité architecturale, matériaux nobles, équipements de bien-être (piscine rétractable, domotique, sauna, etc.).

« À l’image d’un diamant, chaque bien est unique et pensé pour offrir une expérience de vie incomparable », se réjouit-il.

Les acquéreurs étrangers reviennent en force sur le marché immobilier

Les quartiers recherchés de Paris, la Côte d’Azur ou encore la Côte fleurie à Deauville attirent ainsi une clientèle diversifiée : familles françaises, expatriés de retour sur le territoire ou fortunes internationales. L’augmentation des acquéreurs étrangers, notamment américains, contribue à confirmer l’attractivité de la France pour l’immobilier. Sur les 10 dernières ventes réalisées par Engel & Völkers, à + de 3 millions d’euros, 7 ont été faites par des acquéreurs étrangers.

« Dans un monde en quête de repères, les investisseurs se tournent vers des actifs tangibles, durables et porteurs de sens. L’immobilier de prestige dépasse la notion de placement : il incarne un héritage, l’expérience à vivre. C’est cette dimension à la fois humaine et intemporelle qui donne tout son sens à notre métier », ajoute Alexis Caquet.

Une segmentation claire du marché parisien au 1er semestre 2025

Moins de 1 million d’euros : des biens situés notamment dans des quartiers en devenir, prisés par une clientèle locale ou des primo-investisseurs.

Entre 1 et 3 millions d’euros : idéal pour les familles et expatriés à la recherche de résidences principales ou secondaires proches des commodités. « Nous enregistrons sur ce segment une hausse de 15 % des transactions », conclut-il.

Au-delà de 3 millions d’euros : hôtels particuliers, penthouses, propriétés d’exception. Ce segment, symbole de rareté et de prestige, suscite un intérêt croissant, avec une demande en progression de 22 % au premier semestre.

Par MySweetImmo