Gestionnaire de Copropriété : un métier mal compris et pourtant incontournable !

Le gestionnaire de copropriété, un héros des temps modernes

Le gestionnaire de copropriété est en charge de l’entretien et de la conservation des immeubles et du patrimoine. Véritable lien social, renforcé par la conjoncture actuelle, le gestionnaire est l’interlocuteur privilégié pour les maux de l’immeuble dont il a la charge, mais aussi pour les maux des résidents. Ces héros des temps modernes sont des hommes et des femmes passionnés, fiers de la mission qui leur est confiée mais qui sont souvent malmenés, insultés et calomniés.

« La mission primaire de notre métier est malheureusement méconnue de nos clients. Nous représentons tous les copropriétaires et pas les clients individuellement. Nos domaines d’interventions et de compétences sont extrêmement larges. Cela requiert bon nombre de connaissances, de savoir-faire et de savoir-être. Gestionnaire de copropriété est aussi un poste à haute responsabilité. Si un balcon s’effondre par exemple, nous serons mis en cause en premier lieu » confie Yann Sturzer, gestionnaire de copropriété chez Oralia.

« Nous sommes la seule profession à avoir autant de domaines de compétences : juridiques, comptables, commerciales, techniques du bâtiment etc… C’est passionnant, il faut constamment se mettre à jour, notamment avec les évolutions législatives de plus en plus fréquentes. D’un point de vue intellectuel, c’est très stimulant car on progresse beaucoup et très vite » poursuit-il. 

Des postes à pourvoir au sein de la métropole bordelaise !

Les copropriétés et les immeubles se font de plus en plus nombreux, des postes sont à pourvoir constamment et plus précisément dans la métropole bordelaise. Les qualités requises : être curieux, réactif, disponible, engagé, aimé rendre service, avoir de l’empathie.

« C’est un métier de challenge au quotidien, il y a une grande palette de choses à apprendre, pour une perpétuelle stimulation intellectuelle ! C’est un métier passionnant et formateur qui peut ouvrir beaucoup de portes ensuite », exprime Yann Sturzer.